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tendant ses lèvres que je mords jusqu’au sang, pendant qu’elle secoue avec rage ma colonne, qui lance, pendant une minute, des jets saccadés, sifflant en jaillissant, en même temps que les mignonnes, tendrement remuées, fléchissent sur leurs jambes, et que mes doigts crispés s’incrustent dans leurs fesses pour les retenir.

Cette fois c’est bien fini, les deux amies nous quittent. Je reste avec la comtesse, dont les yeux luisants de désirs, me promettent des fantaisies variées. Lola, qui est de service pour la nuit, reste seule avec nous. La comtesse lui donne un ordre à l’oreille ; la soubrette passe un peignoir, s’absente un moment, revient avec une cafetière, qu’elle met sur la veilleuse. Puis, retirant son peignoir, elle va prendre un godmiché, et quand le lait est bouillant, elle en verse dans l’instrument, dont elle se ceint les reins ; puis, se tenant debout, elle attend la comtesse ; celle-ci s’approche. Lola fléchit sur les genoux, pour permettre à Mercédès de s’embrocher plus facilement ; quand celle-ci a la dimension dans le ventre, elle me présente son gros derrière potelé ; et, bien que la voie ait été déjà tracée, et