il lui crache à la figure, sans crier gare, constellant ses joues de larmes brûlantes.
Le quatuor, à cette vue, éclate de rire ; Lola avec la mine d’une qui regrette que si bonne chose soit perdue. Cependant, la comtesse vient s’étendre sur la table du massage. Couchée sur les reins, elle offre ses charmes étalés ; et pendant que, glissé dans une robe de chambre, j’assiste au travail des masseuses, je contemple, avec ravissement, cette belle chair qui palpite, rougissant sous les mains qui la froissent. Celle-ci frictionne les cuisses, celle-là la gorge, l’autre les bras ; et quand le satin est rouge partout, la belle se retourne sur le ventre, présentant ses beaux reins satinés, ses opulents hémisphères, ses cuisses rondes et blanches. Je ne tiens plus en place, je me précipite vers la table, et pendant que les belles filles pelotent les reins, les cuisses, les jambes, je m’adresse aux fesses, qui rougissent vite sous ma vigoureuse friction ; je presse la chair, je frotte le satin, je passe la main dans la raie, et, m’inclinant vers le beau derrière, j’y dépose mille baisers brûlants, dont la douce sen-