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luisant de luxure, racontent éloquemment les joies paradisiaques qui viennent de la diviniser. La comtesse sourit, heureuse du bonheur de sa tendre amie ; et quand je m’en vais : « N’oubliez pas l’heure du train, me dit-elle ; c’est par l’exprès de huit heures vingt que nous partons ce soir. Soyez ici à six heures, pour le dîner. »

Le soir, confortablement installés dans un sleeping-car, retenu à notre intention, nous roulions vers l’Espagne, la comtesse, Cécile, les trois inséparables soubrettes, et…

Votre serviteur.

N. B. Si nos chers lecteurs et nos aimables lectrices désirent nous rejoindre à Séville, ils nous retrouveront dans :

« LÈVRES DE VELOURS. »


pour faire suite à :

LA COMTESSE DE LESBOS.


FIN.