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essaie de la soulever, sans pouvoir lui faire perdre terre ; elle se jette alors sur son corps, l’enlace, la serre dans ses bras, se frotte à elle, se livre enfin à une pantomime de rut échevelée. Lola s’en débarrasse, la prend sous les fesses, l’enlève comme une plume, la tient un moment en l’air, élevée au-dessus de sa tête, la bouche sur la fente ; puis, la renversant, la tête en bas, elle lui fait reposer les mains par terre, et plongeant sa figure entre ses cuisses, elle se met à lui bouffer le chat, la maintenant les jambes en l’air, écartées. Agnès se précipite vers le couple, se couche sur le dos, de sorte que sa tête se trouve entre les pieds de Lola et son mignon, à deux doigts des lèvres de Sophie, qui se met en devoir de le fêter tendrement. Blanche, prise à son tour d’une douce envie, enjambe la figure d’Agnès, s’accroupit, et présente son conin aux lèvres de son amie ; son visage est tourné vers la grotte de Lola, qui est vraiment trop près de sa bouche, pour qu’elle résiste au désir de nouer des relations de bon voisinage avec le clitoris. Le quatuor exécute le morceau avec un ensemble si parfait, qu’il se