Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/159

Cette page a été validée par deux contributeurs.

nous commençons la double opération. Imitant la comtesse, qui baisait les petits pieds de la mignonne, j’embrasse les talons, remontant vers le derrière, le long des jambes et des cuisses, pendant que ma charmante partenaire grimpa par devant vers le verger de Cypris. Après un temps d’arrêt, que j’employai de mon côté à larder le petit mignon, nous montons, moi, le long de l’échelle, elle, par les seins, et nous redescendons chacun jusqu’au coin qui nous est dévolu. Il ne fallut pas longtemps à la mignonne pour éprouver les plus douces sensations ; j’avais à peine la langue dans le petit point noir, que la gamahuchée, lâchant le trapèze, fléchissait sur ses jambes, caressait des deux mains la tête de Mercédès et jouissait follement, tressaillant de tout son corps, sous les deux langues agiles qui la fouillaient divinement.

« À vous le devant, à moi le derrière, mais avec ça, puisque vous êtes en état ; » me dit la comtesse, en donnant une chiquenaude à mon priape, qui se quillait. Je prends place devant l’autel, et j’essaie d’entrer dans le tabernacle,