bande est nue et se dispose aux jeux amoureux. Les trois soubrettes s’arment d’un godmiché, plein de lait chaud ; on en donne un à la princesse, qui doit s’en servir par devant, pendant que je l’enfourcherai par derrière. Lola, Mina et Lison se couchent sur les reins, la verge en l’air ; la comtesse, Blanche et Agnès se dirigent vers leurs vis-à-vis, enfourchent leur monture, la comtesse sur Lola, Blanche sur Mina, Agnès sur Lison, et s’assoient sur la verge factice, qui s’enfonce dans le gouffre. La princesse, pendant ce temps penchée en avant, m’aide, du bout de ses doigts complaisants, à accoster le repaire. Je m’y glisse bientôt, non sans quelques efforts, mon membre est dans une fournaise, les fesses me brûlent le ventre ; la princesse pousse alors son godmiché dans son vagin, et s’en sert comme d’une verge libre, la faisant aller et venir dans le réduit, tandis que le groupe nous offre le plus ravissant spectacle. J’admire les trois splendides mappemondes du plus éblouissant satin, larges, épanouies, qui montent et descendent en cadence sur la quille qui les encloue ; et cet aimable fouillis de
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