la rompre, ma langue vole sur le clitoris. Mercédès se frotte amoureusement sur ma figure, poussant avec son ventre, et appuyant ses deux mains fortement sur ma nuque, comme pour écraser sur mes dents le bouton qui pleure, en même temps que Sophie, pâmée, qui a ralenti le train, m’ouvre les portes du ciel.
On sonne pour le bain. Inutile de vous dire que nous le prenons ensemble, au milieu des plus plaisantes évolutions. Après le bain, enveloppés de peignoirs bien chauds, nous nous remettons entre les mains des soubrettes, qui nous épongent des pieds à la tête, avec des tâtonnements qui me remuent agréablement ; puis, nos deux beautés s’étendent toutes nues sur la table du massage. Mina et Lison donnent leurs soins à la princesse, étendue sur le dos ; Lola et moi, nous servons la comtesse, couchée sur le ventre ; les deux splendides nudités forment le plus ravissant contraste par l’opposition de leurs divers appas. Nous nous escrimons ensuite sur les corps retournés. Quand c’est mon tour, les deux amies me tripotent d’abord les reins, puis le devant, s’amusant à taquiner maître Jacques, qui se