racine, aspire la chaude liqueur dans les parois élastiques de son vagin brûlant.
Les deux gougnottes sont insatiables ; maître Jacques, étant au repos, elles recommencent à se taquiner entre elles des mains et des lèvres : la princesse s’étend sur la comtesse comme un homme, ventre contre ventre, seins contre seins, les bouches unies, les toisons mêlées, se frottant lascivement les cuisses et le bas du ventre, les poils mêlés ; la cavalière soulève les fesses de la chevauchée pour bien se coller à elle, la chair nue contre la chair nue ; couché sur le côté, je me colle moi-même contre ces corps brûlants, je glisse ma main sous les fesses de Mercédès que je patine, l’autre main joue sur les hémisphères de Sophie, les caresse, les presse, ou les cingle tour à tour, retombant, par intervalles, dure et sèche, sur la chair qui palpite quand je la froisse, laissant sur le satin des empreintes rouges ; puis, quand je sens qu’elles sont près du but, j’enfonce un doigt dans les chairs, branlant la mince cloison qui sépare les deux réduits ; les parois se resserrent sur mon doigt, et je précipite le mouvement,