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dans le réduit, qu’elle a devant, présente son cul à la suivante, et chacune vient ainsi, l’une derrière l’autre, empaler celle qui la précède, s’offrant à celle qui la suit, toujours dans la même posture.

Miss Pirouett, qui est la dernière, enfile le derrière de Mercédès, et quand toute la bande est ainsi reliée, enchevillée, je m’agenouille à mon tour derrière Miss Pirouett, qui écarte les fesses pour m’aider à pénétrer le réduit postérieur, qui malgré une récente occupation, reçoit assez difficilement ma dimension ; et sans l’aide de ses doigts, j’aurais longtemps peiné devant l’étroit orifice.

Quand je suis dedans, et que mon outil est logé jusqu’au fond, ne laissant à la porte que les témoins, je donne le signal du branle-bas par un formidable coup de reins, qui ébranle toute l’enfilade jusqu’à la tête de ligne, imprimant une oscillation cadencée à tous ces corps reliés entre eux, qui obéissent à ma poussée ; chaque mignonne reste la quille plantée dans le cul qui précède, ramenant la croupe en arrière, ou