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ments de lait chaud, puis chacune se ceint les reins, à l’exception de Graciosa, que Miss Pirouett conduit à l’extrémité de la chambre, où elle la fait agenouiller, les genoux écartés, la tête sur un fauteuil bas, de façon à avoir la croupe plus élevée que la figure. Derrière la mignonne elle installe Mina, qui s’agenouille entre les jambes de Graciosa et attaque la forteresse qui vient d’être prise par un gros membre, et dans laquelle le petit instrument pénètre assez facilement, sans douleur pour la patiente ; elle la tient embrassée dans son bras gauche, son bras droit entoure la cuisse, la main vient se reposer sur la fente, dans laquelle elle glisse un doigt agile, qui va chatouiller le petit bouton ; puis, restant ainsi immobile, elle attend, les fesses écartées qu’on vienne la mettre en perce ; derrière Mina s’installe une danseuse, qui vient l’accoler, tendant elle même sa croupe à la soubrette, qui vient derrière elle la prendre de la même façon, le doigt toujours sur le bouton, prêt à jouer son rôle ; derrière la soubrette une autre ballerine, qui enfonce son pseudo-priape