des idées plaisantes, veut qu’on serve ces dames
disposées comme pour satisfaire … un besoin
naturel. Mercédès, Dolorès et Conchita, s’accroupissent
donc, prennent leurs jupes dans
les mains, les retroussent un peu haut, par
devant et par derrière, les genoux aux dents ;
les fesses, prenant ainsi la forme d’une poire
duchesse renversée, touchent presque terre ;
la fente s’entr’ouvre sous un fouillis de poils au
bas d’une toison noire qu’on découvre à moitié.
Devant chaque motte s’allonge une ballerine,
étendue sur le côté dans une posture gênante
pour arriver, en s’allongeant le cou, à mettre la
fente sous ses lèvres ; derrière chaque postérieur
s’installe une danseuse étendue sur le ventre,
la tête relevée pour porter ses soins au
gaillard d’arrière. Les trois soubrettes habillées
s’agenouillent devant les trois dames, viennent
se coller à leurs lèvres, en les maintenant serrées
sur leur seins.
Les quatre belles inoccupées et moi, nous voltigeons d’un groupe à l’autre, surveillant la manœuvre, nous agenouillant, inclinés vers la