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brette dessous ; tous les couples d’ailleurs sont disposés de même tout autour, l’une sur l’autre, dans la position voulue pour un gamahuchage réciproque général, chacune ayant la langue dans la fente de l’autre. Je vais d’un groupe à l’autre, tripotant les chairs, pinçant les culs, cinglant les fessiers, qui rougissent sous les giffles, les mordillant à genoux.

Après deux minutes de ce divertissement, je quitte à mon tour tous mes vêtements, je saute dans le cercle, et je me jette sur le couple, où Miss Pirouett s’ébat sur Lola, au milieu du rond. Tenté par la splendeur éblouissante du beau monument, dont le gîte était nouveau pour moi, je m’agenouille entre les jambes de Miss Pirouett et, la verge à la main, je viens tenter l’effraction. La belle ne bouge pas plus qu’un terme ; mais malgré la lubrification préalable des environs, et les efforts que tente ma verge humectée, je me morfonds à la porte, qui reste obstinément close. Lola, devinant ce qui se passe, retourne aussitôt sa cavalière, s’installe sur elle, relève les fesses, et offre à maître