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Après quelques rapides ablutions, Lola prend maître Jacques dans sa main, l’enferme dans sa bouche, et quand il a repris sa belle dimension, elle se couche sur le bord du lit, relève ses jupes, me reçoit, et quand je suis dedans, elle s’accroche à mon cou, se soulève, glisse par terre, laissant retomber ses jupes, et me conduit tout doucement au milieu de la chambre, se serrant contre moi, pour ne pas désencheviller. Elle dit à la blondinette de bien relever tous ses vêtements, et quand celle-ci les tient au-dessus des reins et du nombril, elle la prend par les cuisses, la soulève comme une plume, la met entre nous, le chat sur ses lèvres, le cul sur les miennes et la tenant ainsi à bout de bras, elle la gamahuche délicieusement, tandis qu’arcbouté aux épaules de l’enfilée, je joue des reins, fouillant la fournaise ardente de mon priape quêteur, au même temps que je larde de coups de langue le petit point noir entre les fesses. La manœuvre dura à peine une minute, tant nous mettions d’ardeur dans notre véhément exercice et tous les trois nous