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le petit bout pointu de sa langue rose, dans la petite tache noire. Agenouillées devant et derrière la belle Andalouse, Lola et Lison exercent leur talent dans la double route des plaisirs. Je refais le tour du monument. Ici, c’est Mina qui est à genoux, la figure ensevelie dans les larges fesses de Conchita, dont les opulentes saillies débordent à droite et à gauche des oreilles de la soubrette, tandis qu’agenouillée devant, la blonde Cécile s’escrime au bas du noir minet. Au milieu, élevée au-dessus du groupe, comme une statue sur un piédestal, Mercédès reçoit dans le double envers de son autel à la romaine, les prières simultanées des deux ferventes dévotes, dont l’ardeur est décuplée par les ineffables caresses dont les comblent quatre habiles Lesbiennes, dont les lèvres de velours sont sans rivales pour ces suaves baisers.

La haute et large toison noire de Mercédès qui monte presque jusqu’au nombril, saute sur le ventre qui danse, plaisamment secoué ; plus haut la gorge palpite, les seins se soulèvent, se