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sanctuaire, glisser sur la peau tendue de mon engin qui tressaille d’aise à ce doux contact. Mercédès d’abord ne bouge pas plus qu’un terme pendant le duo qu’on exécute dans son oratoire, concentrant sans doute toutes ses pensées, tous ses désirs vers le but ardemment rêvé. Bientôt, cependant, le talent des deux concertants ébranle le calme de la comtesse, qui s’émeut peu à peu ; les fesses un peu lâchées tout à l’heure, se serrent maintenant, s’écartent, se remuent, se trémoussent sous mon ventre agitées par des contractions ; les seins que je presse dans mes mains, dressent leurs pointes empesées, la gorge se soulève, gonflée, palpitante, battant plus vite, les cuisses s’écartent, se resserrent, m’aidant dans ma manœuvre ; enfin le vagin se contracte, comprimant maître Jacques qui le fouille avec ardeur, et l’injecte profondément de ses chaudes faveurs ; la comtesse roucoule tendrement, pendant que l’adorable blondinette ne cesse de lécher sous ma verge le clitoris en pleurs.

Les mignonnes, après s’être remises en état,

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