les mains posées sur les deux autres moitiés ;
elle lui écarte les jambes de façon à mettre au
jour son gros clitoris ; puis elle vient se faire
prendre en levrette, et, se renversant sur les
mains, elle me conduit vers le bosquet où elle
a affaire. Mercédès, moelleusement assise sur
deux hémisphères rebondis, patine les deux
autres sous ses mains qui s’y reposent, caressant
tendrement les deux quartiers, l’un surtout,
avec une prédilection marquée, et sur
lequel elle jette un regard de convoitise, que
j’observe, tout en manœuvrant dans mon gîte.
Miss Pirouett, que je tiens par les cuisses, me
fait une ceinture de ses jambes, me serrant
nerveusement la taille et m’obligeant à enfoncer
la quille jusqu’au fond.
Bientôt, Mercédès que je ne perds pas de vue, respire plus fort, sa gorge berce violemment sur ses deux beaux seins de neige la jolie fraise mûre qui les coupe d’un gros point vermeil, ses paupières tremblent, voilant l’éclat de ses yeux, son nez bat l’air de ses ailes roses, son corps se penche à droite, pressant la fesse de Cécile,