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rends à ses désirs, et aidé par la patiente, qui m’ouvre une issue du bout des doigts, j’entre bientôt dans le réduit. Dès que je suis logé, Sophie se glisse sous les jupes par devant, et vient offrir au clitoris le velours de sa douce langue, Mercédès lui pigeonne le bec ; Cécile, qui a dégrafé le corsage, caresse dans leur nid de dentelles les jolies pommes d’amour, des lèvres et de la main ; Mina plonge à son tour dans le corsage, pendant que je fouille le canal dans toute sa longueur, donnant de violents coups de reins, qui poussent en avant le cul que je pénètre ; les genoux de l’empalée s’incrustent dans les chairs qu’ils tassent à chaque poussée. Les deux Andalouses, après avoir savouré le tableau en simples spectatrices voulant se rendre utiles, viennent s’agenouiller derrière moi, pelotant mes rouleaux et me tapotant les fesses, ce qui m’oblige à inonder sans retard l’étroit réduit qui se rétrécit encore, car la mignonne se tord en même temps dans mes bras.

Après les plus tendres adieux, pendant lesquels on répéta les plus aimables scènes, on se