res déjà rouges de la fessée ; les verges retombent
en cadence avec un flic flac sonore, tandis
que les fouetteuses ont repris sur les reins
qu’elles ont enfourchés, leur lascif balancement.
Cécile se comporte à merveille dans le
temple de l’amour, car Miss Pirouett jouit
avant l’heure, devançant nos vis-à-vis à Cythère.
Quand elle se redresse, voyant que toute la bande n’est encore qu’à mi-chemin, elle se retourne vers moi, aperçoit mon priape quillé, et s’élançant soudain sur mes genoux, elle l’enfourche en deux temps et se met à chevaucher d’une façon endiablée. Puis, sous prétexte qu’elle ne voit rien ainsi du ravissant spectacle, elle vide les arçons, se retourne, se penche en avant, me présente les fesses, et me fait signe de la prendre en levrette. Ployé sur les genoux, je me glisse dans le vagin lubréfié par les gouttes de rosée qui en coulent encore, et je pousse mon membre jusqu’au fond ; quand mon ventre vient s’accoler au derrière brûlant, je ne me sens pas d’aise, et je joûte avec une ardeur