contorsions de ces trois gros culs fouettés sévèrement,
qui bondissent, s’écartent, se referment,
se trémoussent, tandis que les fouetteuses
se remuent lascivement sur les reins fouettés,
se frottant amoureusement avec des mouvements
de chatte en rut, qui me font augurer
qu’elles nous suivent à Cythère. Rappelé à l’ordre
par Miss Pirouett qui s’aperçoit de mon indulgence
pour le cul de Cécile, je me remets à
cingler de claques retentissantes le beau postérieur
de la mignonne, qui se reprend à gémir
lamentablement ; je prends goût à la chose, si
bien que mes giffles retombent nourries, dures,
sèches, faisant fumer la peau, qui brûle
mes doigts quand je les y repose. Les groupes
se trémoussent sous mes yeux, les fouetteuses
se penchent en avant, les deux mains s’appuient
sur les chairs brûlantes de fesses cramoisies,
et elles se frottent avec rage sur les reins de
leurs monture, les yeux au ciel, les dents crochetées,
les seins palpitants, berçant leurs pointes
roses dans un balancement continu. Cécile
se tait, et jouit également, quand, cessant de
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