Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/155

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 151 —


de la main droite, très sévèrement, ces trois dernières.

Miss Pirouett a installé une chaise en face des groupes, et m’invite à m’y asseoir ; puis elle amène la blondinette Cécile, qu’elle jette en travers de mes genoux, le corps replié, la mappemonde en dehors ; elle se glisse ensuite entre mes jambes, et vient trouver le chat de la mignonne, le cou allongé, les lèvres tendues, la langue en avant, pour le fêter gentiment, pendant que je lui appliquerai avec la main une verte fessée. Je m’escrime sur le gros derrière potelé de la mignonne, qui n’a pas trop l’air de trouver la chose de son goût, car elle gémit bruyamment dès les premières claques. Cependant les trois fouetteuses, qui sont en face, ayant terminé la préparation manuelle, ont pris la verge en main, et la manient rudement sur les tendres postérieurs carminés qu’elles ont sous les yeux, me donnant des distractions dont profite le derrière de Cécile que ma main caresse maintenant, bien plus qu’elle ne le cingle ; et je m’oublie, amusé par les plaisantes