mants, la princesse qui devine l’approche du
moment la crible pour finir d’une grêle de
coups, et quand elle voit aux trémoussements
convulsifs des hémisphères que la verge est devenue
inutile, elle jette l’instrument, s’agenouille
devant le cul fumant, et vient y déposer
les plus tendres hommages, augmentant
ainsi l’intensité du plaisir :
C’est le tour de miss Pirouett de passer par les verges. La mignonne qui s’est relevée encore pâmée, me prend par la main, me conduit vers une chaise, suivie de toute la bande : quand je suis assis, elle vient se mettre en travers de mes genoux, et présente à ma main droite sa belle mappemonde, en me priant de ne pas l’épargner. Me conformant à ses désirs, je lui applique une sévère fessée, d’une main sèche et dure, cinglant tout le tour retombant deux fois sur la même empreinte ; quand le fessier est prêt pour la verge, elle se relève, les yeux brillants de luxure, porte la main à ma braguette, et retire maître Jacques furieux, et veut l’enfourcher aussitôt. Je rabats ma culotte,