Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/152

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 148 —


mants, la princesse qui devine l’approche du moment la crible pour finir d’une grêle de coups, et quand elle voit aux trémoussements convulsifs des hémisphères que la verge est devenue inutile, elle jette l’instrument, s’agenouille devant le cul fumant, et vient y déposer les plus tendres hommages, augmentant ainsi l’intensité du plaisir :

C’est le tour de miss Pirouett de passer par les verges. La mignonne qui s’est relevée encore pâmée, me prend par la main, me conduit vers une chaise, suivie de toute la bande : quand je suis assis, elle vient se mettre en travers de mes genoux, et présente à ma main droite sa belle mappemonde, en me priant de ne pas l’épargner. Me conformant à ses désirs, je lui applique une sévère fessée, d’une main sèche et dure, cinglant tout le tour retombant deux fois sur la même empreinte ; quand le fessier est prêt pour la verge, elle se relève, les yeux brillants de luxure, porte la main à ma braguette, et retire maître Jacques furieux, et veut l’enfourcher aussitôt. Je rabats ma culotte,