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la place à la princesse, qui se met à appliquer la verge, d’abord avec modération, en cadence, faisant plus de bruit que de mal, espaçant les coups, puis, plus sévèrement. Les fesses qui se marbrent de ligne rouges, se trémoussent ; enfin, sous des coups plus vifs, plus cinglants, le postérieur bondit et retombe brusquement sur la figure de Dolorès ; celle-ci enferme la croupe dans ses bras, pour maintenir la fente sur sa bouche, d’où l’on voit sortir une petite langue rose, dont la moitié a disparu dans l’orifice, où elle se démène sur le clitoris, entre les lèvres vermeilles de la grotte entrebâillée. La princesse laisse retomber une grêle de coups sur les gros hémisphères qui se tordent en de plaisantes contorsions, se soulevant, s’écartant, se refermant, agités convulsivement, annonçant que le plaisir envahit le temple de l’amour. La fouetteuse suspend ses coups ; les fesses serrées se dandinent un moment dans un balancement lascif, voluptueux, et restent enfin larges épanouies, laissant voir au bas de la raie bien ouverte, la petite pastille de kermès.