une fessée avec les mains ; le derrière, réchauffé
par ces préliminaires, est mieux disposé
à recevoir la verge, qui n’entame pas la
peau ainsi préparée, quand le fouet est sagement
appliqué, quoique rigoureusement.
Conchita et Dolorès se déshabillent. Dolorès se couche sur le lit de repos, le ventre en l’air, Conchita s’étend sur elle renversée, de façon que chacune ait la langue dans la fente de l’autre, Conchita exhibant au-dessus de la figure de Dolorès son gros derrière velouté, dont les fesses potelées et rebondies sont admirablement disposées pour recevoir le fouet. Je suis chargé de la préparation manuelle de la belle mappemonde ; je m’avance, la main levée, et quand je suis en face du beau postérieur, je me mets à le cingler, d’abord doucement, laissant à peine la trace de mes doigts sur la peau, puis plus fort, y laissant des lignes roses ; enfin, une grêle de claques sévèrement appliquées viennent rougir et meurtrir les chairs froissées, qui résonnent sous les gifles retentissantes. Quand le derrière est fumant, je cède