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tapis, entre les quatre jambes écartées de Mercédès et de Sophie, le nez entre les fesses de la première, où ma langue va larder le petit point noir, je glisse deux doigts de la main droite dans la fente de Sophie, et le pouce de la même main dans la fente de Mercédès, voisine de l’autre, appuyant fortement les doigts sur les deux clitoris, séparés par deux cloisons si minces, qu’ils sont presque en contact, quand les trois doigts qui les branlent les écrasent l’un contre l’autre ; les deux gougnottes enlacées se pigeonnent amoureusement, en écrasant leurs appâts étroitement serrés. Entre les cuisses écartées des trois autres couples, Lola, Mina et Lison, accroupies comme moi, donnent les mêmes soins aux deux bijoux voisins, branlant les deux clitoris à la fois, entre deux doigts et le pouce. Mais doigts, sans cesse en mouvement, appuient sur les boutons, comme sur des touches élastiques, qui cèdent sous la pression, pour se relever quand les doigts s’écartent. Après quelques minutes de ce joli manège, les clitoris qui grossissent sous le frot-

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