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la princesse dans les bras, renverse la tête en bas, lui farfouille le vagin encore tout barbouillé de la dernière injection, tandis que Sophie, renversée, lui rend dans sa fente les caresses qu’elle en reçoit. Miss Pirouett, voyant qu’il n’y a rien à tirer de maître Jacques, s’élance sur les mains, passe dans le second carré, et s’y promène la tête en bas, d’une croupe à l’autre, inspectant la manœuvre. Je la rejoins dans le carré, où j’essaie de poser mes lèvres sur sa fente ; la ballerine voyant mes efforts pour lui offrir mes soins, se laisse faire ; puis s’accrochant à mes jambes, elle remonte le haut de son corps, en grimpant avec ses mains le long de mes cuisses, et quand elle a sa fente là-haut sur mes lèvres, et sa bouche sur maître Jacques, elle engloutit le sire qui revient vite à la vie dans la chaude fournaise qui lui donne l’hospitalité, et nous jouons, nous aussi, notre partie dans le concert d’amour. Bientôt, les deux carrés se trémoussent d’aise ; dans l’intérieur de l’un, Lola et la princesse, Miss Pirouett et moi dans l’autre, nous suivons leur