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efficace à sa froideur. Les quatre soubrettes se jettent sur elle, et, la dépouillent de ses vêtements en lui prodiguant les plus tendres caresses, qui auraient ressuscité une morte, sans produire le moindre effet dans ce corps de glace.

Quand Sophie est toute nue, je m’étends tout nu, moi aussi (je me suis dévêtu en un tour de main) sur le lit de repos, couché sur le dos, la verge en l’air ; les soubrettes portant la princesse sur le lit, l’étendent sur mon corps et l’enchevillent à mon priape. Sophie reste allongée, la quille dans le ventre, sans faire un mouvement. Lola, qui est allée chercher un martinet, revient le bras levé, et tandis que les deux Sévillanes et Miss Pirouett se demandent ce qu’on va faire, la soubrette se met à cingler le blanc postérieur. Les yeux levés, je contemple dans la glace du ciel de lit les effets du martinet sur la belle croupe. Quelques coups légèrement appliqués, qui rosent à peine la peau, la laissent insensible, le cul ne bouge pas plus qu’un terme ; à quelques coups