les mignonnes, un tremblement convulsif les
remue violemment, et je les vois se tordre
voluptueusement, dessus et dessous, l’une me
berçant sur sa gorge agitée, l’autre me pressant
de la pointe de ses seins dressés ; et leur
clitoris ravi distille l’ivresse dans le temple de
l’amour.
Elles restent un moment pâmées ainsi ; la chaleur des deux corps, la moiteur de cette peau veloutée et satinée ont pénétré mes sens, et rendu à maître Jacques toute son énergie. Les deux mignonnes se sont dégagées. Miss Pirouett, après avoir caressé mon priape, s’agenouille, me tournant le dos, et lui présente ses fesses écartées ; je me glisse entre les jambes, et je viens attaquer la redoute, que je force après quelques assauts, aidé par les doigts complaisants de la comtesse. Dès que je suis logé dans l’étroit réduit, Mercédès s’agenouille auprès de nous, passe une main sous le ventre de Miss Pirouett, met deux doigts dans la fente et branle vigoureusement le bouton de l’empalée, tandis que de sa main droite, elle me flan-