rière-train, et quand elle occupe le gîte, Miss
Pirouett vient embrocher la soubrette par devant
Je saute à la barre du trapèze, qui est un
peu élevé, je m’y accroche des deux mains et
je descends mon corps à la force des poignets,
entre les bustes de Lola et de Miss Pirouett, présentant
mon derrière à la ballerine, et mon membre
aux lèvres de la soubrette, qui ouvre le bec,
et le happe, comme un poisson happe l’appât
de l’hameçon. Lola a ainsi trois pompes qui
fonctionnent chacune dans un foyer de l’incendie,
prêtes à l’inonder à la première étincelle.
Pendant que Miss Pirouett et la comtesse manœuvrent leur pompe dans leur coin, la première en me mordillant les fesses, Lola fait courir le doux velours de ses lèvres tout le long de mon membre, le suce amoureusement, retenant, quand elle est au fond, le gland dans sa bouche, l’enveloppant dans sa langue ; puis, reprenant le va-et-vient, elle le caresse toujours voluptueusement. Bientôt les deux pompiers femelles, toujours aux aguets, sentant que la première étincelle va jaillir, font