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Miss Pirouett a vite pris son parti. Dès qu’elle nous voit installés, elle s’élance sur le lit, saute à cheval sur ma croupe, et, étreignant mes fesses entre ses cuisses, elle se met à bondir furieusement sur mon derrière, m’obligeant à la suivre dans ses bonds désordonnés. La verge et la langue, réunies dans le chaud repaire, pour la même affaire, ont tôt fait de l’émouvoir, et le vagin se tord depuis longtemps quand je le pénètre de mes brûlantes faveurs, en même temps que mon écuyère pisse de plaisir sur mes fesses, et que la princesse se pâme sous la comtesse, qui lui rend ses bienfaits avec usure. Les groupes, disséminés dans la chambre, ont laissé retomber leurs vêtements, et se tordent dans les plus plaisantes contorsions, les unes, le buste cambré, rejeté en arrière la gorge en arrêt, les yeux au ciel, les autres penchées en avant, inclinées vers la terre et toutes pressant fortement des deux mains la nuque des ouvrières de leur bonheur, ensevelies sous leurs jupes.

Après un repos de quelques instants, tout