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glisse entre les cuisses écartées, je la pénètre vivement, et, quand je vais jouer des reins pour mener l’affaire à bien, la princesse, nous voyant unis, repousse Miss Pirouett qui recommençait son aimable manège, s’élance sur le lit s’installe sous la comtesse, la tête vers le pied du lit, de façon à gamahucher Mercédès, tout en lui offrant sa grotte pour qu’elle lui rende la pareille. La comtesse s’étend doucement sur son amie, je la suis dans son mouvement, sans sortir de l’étui qui emprisonne mon membre. Dès que Sophie a la grotte sur ses lèvres, je sens sa petite langue douce et chaude, qui s’insinue dans le réduit que j’occupe, entre le boutonnet d’amour et ma verge, dans un tout petit coin, si étroit, qu’il semble qu’il n’y aurait pas de place pour une épingle, car mon membre qui remplit exactement l’orifice, touche les bords tout autour. Mais la petite langue se fait si pointue, et le velours en est si doux, si moelleux, qu’elle se glisse dans l’imperceptible solution de continuité, où elle se démène rapide et légère, comme si elle était logée au large.