mahuche follement la princesse, j’offre ma langue
à la comtesse, bien que ce soit un autre objet
qui lui tire les yeux en ce moment ; elle le
prend dans la main cet objet, mais il offre si
peu de consistance, qu’elle se contente, faute
de mieux, du pis aller que je lui offre, pis aller
qu’elle préfère d’ordinaire ; mais sait-on jamais
à quoi s’en tenir sur les caprices des femmes
en général, et des tribades en particulier ? Je
me conduis brillamment dans l’aimable asile,
y dépensant tout mon talent, toute la dextérité
de ma langue agile qui eut tôt fait de tirer des
larmes au clitoris ravi de plaisir. Autour de
nous, les besognées jouissaient en chœur ; et
toutes insistaient pour qu’on recommençât sur-le-champ
une besogne aussi bien, mais trop
vite menée.
Maître Jacques a repris sa superbe prestance, Mercédès, à cette vue soudainement reprise de son appétit de mâle, m’entraîne vers le lit de repos. Elle monte sur la couchette, s’agenouille, et me montre qu’elle veut que je la prenne en levrette. Je grimpe sur le lit, je me