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gros postérieur ; les fesses s’écartent, se referment brusquement, lorsque le tableau vivant repasse, car Miss Pirouett accentue la correction quand le spectacle est sous nos yeux, s’arrangeant à faire plus de bruit que de mal, quand on ne la voit pas ; la fouettée cependant demande grâce, en poussant des cris perçants, mais l’inflexible maîtresse ne lui fait pas grâce d’un coup. Quand le tableau revient, les fesses de l’écolière sont cramoisies, mais ses cris se sont apaisés et quand la plaque s’arrête, elle se frotte lascivement sur les reins de sa porteuse comme une chatte en rut.




8e TABLEAU

LA VÉNUS LESBIENNE. (Apothéose.)


Au lever du rideau, Miss Pirouett, debout, toute nue, la luxuriante chevelure blonde l’enveloppant comme d’un réseau de franges d’or, se tient sur un piédestal, représentent la déesse qu’on adore à Lesbos, la Vénus Lesbienne.

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