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de corriger un beau derrière, me paraissait un jeu voluptueux, dont fouetteuse et fouettée semblaient faire une introduction au plaisir. Entre les cuisses de celle-ci, les lèvres roses de la grotte d’amour, suivent le jeu des fesses, s’ouvrant et se fermant, montrant très développé sur le bord de la fente, le clitoris vermeil, luisant au milieu d’un fouillis de poils blonds en frisés.

Cette vue enchanteresse désarme le bras de la fouetteuse, et je vis alors un spectacle auquel j’étais loin de m’attendre. Juliette jette les verges, tombe à genoux, allonge le cou, rejette la tête en arrière, et va coller ses lèvres sur les bords de la fente entrebâillée. L’assaillie accueille l’assaillante sans manifester la moindre surprise et sans faire un mouvement pour essayer de se dégager.

Je regarde, stupéfait, la scène voluptueuse et inattendue qui se déroule sous mes yeux. Juliette, qui se livre à la béatification de la patiente, se distingue dans le temple de l’amour ; car les grosses fesses roses reprennent leurs mouvements, comme tout à l’heure sous les verges ; elles gigotent vivement,