Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/176

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 166 —

Les deux fouetteuses commencent ensemble la flagellation, et pendant deux minutes, elles cinglent sans interruption, à tour de bras, les gros hémisphères, qui se trémoussent et rougissent dès les premiers coups, manifestant l’émotion qui les gagne par des torsions de croupe lascives. On entend pendant une minute encore le bruit sec des verges, retombant en cadence sur les chairs tendres. La fustigation ne dura pas longtemps ; les deux énamourées, excitées par le spectacle stimulant des précédents exercices, et par la ferveur de leurs prières simultanées dans le sacré tabernacle, goûtèrent très vite la plus intense volupté.

Pendant ce dernier exercice, toutes nos dames émoustillées, se sont dépouillées, à l’exception des fustigées, et veulent s’offrir en holocauste toutes en chœur. Les victimes étant plus nombreuses que les bourreaux, pour que chacune ait son compte, on les arrange par groupes. Elle s’accotent deux par deux, corps à corps, chacune glissant un doigt ou deux, selon la dimension du clitoris qu’elle va branler, dans la fente de l’autre, formant ainsi quatre couples, Sur les reins de chacune