« Votre gros cul se trémousse et bondit,
Le lis y fait place à la rose ;
Mais pour un tel délit,
Il faut qu’en rouge vif ce blanc satin se teigne
Mignonne, il faut qu’il saigne.
Flic, flac, il saignera
Tantôt, quand à son tour la verge vous dira
Un petit mot. Ah ! vous criez, ma belle,
Flic, flac, criez, hurlez,
Flic, flac, si vous voulez,
Pour embellir ce beau cul de pucelle,
Je veux y découper, mignonne, une dentelle,
Ah ! vous pouvez vous déhancher,
Je saurai bien vous l’écorcher
Du haut en bas, de long en large,
Sans y laisser la moindre marge.
Flic, flac, sentez-vous la douleur ?
Flic, flac, ô la plaisante mine !
Vous aimez donc la discipline ;
On vous en donnera, mon cœur.
Flic, flac, voyez donc la gourmande,
Dirait-on pas que ce gros cul demande
D’être fouetté jusqu’à demain ?
Voyons que j’y porte la main.
Clic, clac, clic, clac, oh ! la friponne !
Ses fesses me brûlent les doigts