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sées à la main du maître de ballet, qui me prenait de temps en temps dans son lit. C’était toute la nuit que sa main entretenait le feu dans mes fesses, chaque fois que l’envie le prenait de s’allumer aux dépens de mon postérieur.

Le lendemain à la répétition j’étais toujours obligée de prendre mon maillot. Celles qui étaient passées par ses mains savaient à quoi s’en tenir.


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