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se greffer sur l’autre. Puis je savais que renouvelés jusqu’au matin, çà lui ferait une tête de monstre, quand elle s’en irait, et que le bleu mettrait longtemps à disparaître. Il a mis trois semaines. Mais pendant ces huit heures de torture elle versa un torrent de larmes.

Je terminais la danse par une salve de claques entre les cuisses. Ça la faisait hurler, mais moi çà me faisait bander, et j’insistais jusqu’à complète érection. J’en profitai sept ou huit fois, lui faisant gagner son argent.

Quand je ne pus plus l’enfiler ni l’enculer, je me fis sucer, toujours après m’être préparé de la même façon, fessée, gifles, claques entre les cuisses. La garce avait dû être obligée de pratiquer ce jeu, car elle s’y entendait à merveille. Seulement je dus lui mettre mon gland dans la bouche, la figure ressemblait à une citrouille, les paupières étaient presque closes, les lèvres enflées étaient serrées l’une contre l’autre.

Elle me pompa trois fois, avalant tout, pendant qui je lui meurtrissais les fesses, déjà en fort mauvais état, que j’avais à la