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Apprentissage

avait le derrière aussi rouge que sa figure. La maîtresse lui appliqua six coups de cordes de toute la force de son bras. L’ouvrière dut se remettre à l’ouvrage, des larmes pleins les yeux.

— Découds-moi çà et recommence. Si tu me fais encore des points aussi longs, tu sais ce qui te pend au derrière.

Elle repassa une heure après. La pauvre fille qui avait la vue trouble à force d’avoir pleuré, n’avait pu avancer beaucoup son ouvrage.

— C’est tout ce que tu as fait dans une heure ? Si tu te figures que je te paie à tes parents pour faire la fainéante, tu te trompes. Je vais d’abord m’indemniser sur tes fesses et ce soir tu me feras quatre heures de travail supplémentaire.

Cette fois, elle lui épingla les dessous aux épaules, la fit s’agenouiller devant sa chaise de travail et lui appliqua six nouveaux coups de cordes qui lui empourprèrent les fesses. Elle la laissa ainsi sanglotant, en face de nos yeux braqués sur son indécence, l’obligeant à continuer son ouvrage à genoux pendant deux heures. La pauvre croupe ne cessa de s’agiter tant que dura cette aggravation de supplice.

Dans cette journée, elle en fouetta deux autres,