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Une fessée générale

voix basse avec la maîtresse. Après un court conciliabule, celle-ci se tourna vers nous.

— Vous allez toutes être fouettées, depuis la première jusqu’à la dernière et pas en plaisantant, pour vous apprendre à rire effrontément à la vue des nudités des jeunes garçons, depuis le jeune postérieur de Mariska, pervertie à douze ans, jusqu’à toi, épaisse cuisinière.

Les trois plus jeunes sur l’estrade ! Pour elles, nous userons de ces martinets de cuir. Ce sera assez de vingt coups de ces bonnes lanières. La nagaïka viendra ensuite, trente coups de cordes, ça n’abîme pas trop la peau et ça cuit bien. Puis pour quelques-unes que j’aperçois là-bas et qui ont la peau plus dure, ce sera cinquante bons coups de verges. Il leur faut ça pour qu’elles sentent quelque chose.

Elle fit signe à la cuisinière et à ses deux aides de venir nous trousser. J’étais échue en partage à l’une des deux amies.

Elle m’appliqua vingt coups de lanière qui me mirent la chair en feu.

Trois autres nous remplacèrent sur l’estrade. C’était toujours le martinet qui flagellait ces fesses de quinze ans plus fermes que les miennes. Les