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Poupées vivantes

rable, présentant sa chair nue à son impitoyable petit bourreau. Celle-ci la fouetta, ne ménageant aucun coin, tapant avec un tel appétit, que la patiente ne cessa pas un instant de gémir pendant cette danse de son pauvre derrière malmené. Elle était tout en sang quand la petite barine la laissa.

Je ne pus m’empêcher de me demander comment elle me fouetterait au cas où je me rendrais coupable de quelque faute, si elle traitait aussi cruellement et seulement pour son plaisir un pauvre postérieur innocent.

Le lendemain elle me mit à l’épreuve, m’ordonnant d’exécuter des choses que je n’avais jamais faites ni vu faire, n’ayant pas encore assisté à la toilette de mes maîtresses. Je dus l’habiller des pieds à la tête. Je m’en tirai assez bien, sans le moindre heurt, sans le plus léger contact. Elle me donna ses cheveux à démêler. Nous avions l’habitude, mes compagnes et moi, de nous aider pour cette opération, et je n’y étais pas trop maladroite. Aussi n’eut-elle aucun reproche à m’adresser.

Cependant, quand la toilette fut achevée, elle m’annonça que j’allais être fouettée quand même pour augmenter la dose de ma souplesse et de mon