jeunes luttes, l’apprentissage de « l’homme » : Son effroi à Jarnac. — Son hymen malheureux. — La Saint-Barthélemy. — Son passage au Louvre. — Ses études. — Sa fuite. — Ce n’étaient que tableaux grandioses, laines vermeilles. Une seule tache noire dans cet espace de huit ans
Consciences ne lui avaient rien reproché, sauf une heure perdue au jeu.
Neuf autres tapisseries racontaient les premières batailles du « capitaine » : Le recrutement de l’armée gasconne. — La fin de son idylle avec la paysanne agenaise. — La prise de Cahors par des dormeurs. — La scène du Picard ennemi promu officier par le roi lui-même en souvenir des braves coups qu’ils s’étaient mutuellement portés par la tête à l’assaut de la ville. — L’épisode de la Corde. — L’histoire véridique du général Lonlenlas. — L’attaquement de Coutras. — Les chansons du roi après la bataille. — Les drapeaux espagnols chez sa belle maîtresse Corisande. Là aussi, ce n’étaient que visions grandioses. Une seule tache noire en cet espace de dix ans : les Consciences ne lui avaient rien reproché, sauf une heure perdue à table.
Les dix derniers panneaux magnifiaient la conquête, le duel contre les ligueurs, le triomphe définitif du « Roi » : La reconstitution de l’armée gasconne, ses manœuvres. — La ville de Darnétal sauvée par un enfantelet de deux ans. — Le cercueil du capitaine picard entraînant les hommes dans la plaine d’Arques. — Le coq de fonte, animé