variées et surtout par son grand ouvrage, qui les résume toutes
et parut en 1857[1].
Silésie
Si du bassin de la Vistule nous passons dans celui de l’Oder supérieur, nous verrons que, dès le commencement du xviie siècle, C. Schwenkfeld[2] donnait un catalogue des plantes et des fossiles de la Silésie ; Th. Kretschmer[3] traitait des montagnes et particulièrement de celles des Sudètes au point de vue minéralogique ; J. Prœtori.[4], du Riesengebirge, ainsi que de Charpentier[5] ; G. A. Volkmann[6], dans sa Silesia subterranea, a fait connaître le gisement d’un certain nombre de pétrifications. On peut encore citer les lettres de Zöllner[7] sur la Silésie, Cracovie, Wielikska et le comté de Glatz, ainsi que les voyages exécutés en 1791, et l’ouvrage de Raumer sur la Silésie inférieure[8].
L. de Buch a donné un essai d’une description minéralogique des environs de Landeck, petite ville située à trois lieues au sud-est de Glatz[9]. Le traducteur regarde ce petit ouvrage comme le meilleur travail, de minéralogie géographique qui ait été publié en Allemagne. L’auteur, dit-il, ne décrit pas les différents objets en suivant l’ordre dans lequel il les a observés
- ↑ Polens Palæontologie, in-4.
- ↑ Stirpium et fossilium Silesiæ Catalogus, etc., in-4. Leipzig, 1600.
- ↑ Mineralogia montis gigantea, Kurze Beschreib. d. bekannten Bergarten, etc., in-4. Wittenberg, 1663.
- ↑ Schlesischer Rübenzahl, oder Beschreib. d. Biesengeb. in Schlesien, in-8, 1668 ; — in-12, 1683.
- ↑ Beiträge z. geognost. Kennin. d. Riesengebirges, in-4. Leipzig, 1804.
- ↑ Silesia subterranea, Schlesien mit seinen unterirdischen Schätzen in-4. Leipzig, 1820.
- ↑ Briefe über Schlezien, Krakau, Wielikska u. die Grafsch. Glatz. auf einer Reise un Jahr. 1791., in-8. Berlin, 1792-93. — Knudmann, Promptuarium rerum naturalium et artificialium Vratialaviense, in-4. Beslau, 1726.
- ↑ Gebirge von Nieder-Schlesien, 1819.
- ↑ Mem. de miner. et de géologie, vol. I. Lyon, 1817. — Versuch einer Miner. Beschreib. v. Landeck. In-4 avec carte. Breslau, 1797. – Journ. de phys., vol. XLVII, p. 154. 1798. Cette dernière analyse donne une idée plus exacte et plus complète du travail.