Redevenaient
Ce qu’ils étaient
Dieu sait, je pense,
Comme ils s’en donneraient
Quand on est mort, etc.
Pressés d’éclore,
Que nos désirs,
Que nos plaisirs
Naissent avec l’aurore :
Quand Phébus dore
Notre réduit,
Chantons encore
Chantons quand vient la nuit ;
Des joyeux sons
De nos chansons
Étourdissons
La ville et la campagne,
Et que, moussant
À notre accent,
Le gai champagne
Répète en jaillissant :
Quand on est mort, etc.
Jamais de gêne,
Jamais de soin ;
Est-il besoin
De prendre tant de peine
Pour que la haine,
Lançant ses traits,
Tout-à-coup vienne
Détruire nos succès ?
Qu’un jour mon nom