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Qu’un poète de l’Athénée,
De ses éphémères travaux
Sur la clientèle abonnée
Aille répandre les pavots :
Son fatras oratoire
Assomme l’auditoire ;
Bien boire !
Voilà (bis)
Le nec plus ultra
De l’esprit de Grégoire.
À Cythère, dans mon jeune âge,
Si j’ai brûlé beaucoup d’encens,
Aujourd’hui, plus mûr et plus sage,
Je me dis, maître de mes sens :
Œil tendre, dents d’ivoire
N’ont qu’un charme illusoire ;
Mais boire !
Voilà (bis)
Le nec plus ultra
Des amours de Grégoire.
Me trouver, en sortant de table,
Et sans soif et sans appétit ;
Voir ma cave si délectable
S’épuiser petit-à-petit.
N’avoir dans son armoire
Que la Seine ou la Loire
À boire…
Voilà (bis)
Le nec plus ultra
Des chagrins de Grégoire.