Sur c’ réchaud où n’y a plus rien |
« Doucement
Dit l’amant,
Qui guettait l’ moment,
Faut qu’ enfin l’ chap’let se débrouille :
C’est moi qu’a tout fait,
Grâc’ pour mon objet,
Sinon j’ai là ma patrouille.
Par son trépas
D’un crim’ vot’ bras
Se souille ;
Si ça n’est pas,
J’ veux qu’ mon damas
Se rouille !
— Mon Dieu ! comme il ment !
Dit la pauvre enfant ;
Ni vu, ni connu, j’t’embrouille. »