L’amant que l’ plaisir transporte, |
« Ô ciel, je suis perdue !
Dit la Vestale émue ;
Gn’ y a pas d’ bon Dieu. »
Et v’ là qu’ la pauvre amante
Tombe glacée, et tremblante
Au coin du feu. (ter).
Les cris d’la belle évanouie
Donn’ nt l’alerte à l’abbaye,
Qui s’éveill’ tout ébahie ;
Et l’amant qui s’ sent morveux,
Voyant qu’on crie à la garde,
S’esbigne en disant : « Si j’ tarde,
Si j’ m’amuse à la moutarde,
Nous la gobons tous les deux. »
Air : Dépêchons, dépêchons, dépêchons-nous. Ah ! mam’zell’, qu’avez-vous fait là ? |