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« Tisane, en arrière !
Bourgogne, en avant ! »
À force de recommencer,
Quand ma chambrière,
De ce julep vient me verser
La goutte dernière,
Loin de pleurer mon ci-devant,
Gaîment je chante en l’achevant :
« Bourgogne, en arrière !
Champagne ; en avant ! »
Si jusqu’ici du noir trio
La main meurtrière,
N’a pas mis, d’un coup de ciseau,
Fin à ma carrière,
C’est que jusqu’ici le bravant,
J’ai toujours dit en bon vivant :
« Parques, en arrière !
Momus, en avant ! »
LA PETITE
FEMME BIENHEUREUSE
Ou les plaisirs d’un bon ménage
Mais qu’as-tu donc, Marie,
Qui tout bas t’fait souffrir ?
Ta bouch’ n’est plus fleurie,
J’vois tes appas maigrir…