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teurs les préludes qui forment le sujet nécessaire de cette anecdote intéressante.

Regarde mon instrument, ajouta le Feuillant T..... à la passionnée Verneuil ; savoure d’un œil actif et vigilant ses jolies dépendances ; vois les blocs chauds et retroussés dont il est accompagné ; mais souffre qu’à mon tour je fasse pareil examen, et qu’autant pour ma sûreté, que pour contenter mes sens, je lasse l’analyse de tes charmes.

Oh ! qu’à cela ne tienne, répondit la courtisanne ; est-ce le devant ou le derrière que j’offrirai à tes regards passionnés ? Tous les deux à la fois, ma mignone. Je puis voir le devant et le derrière, ajuste-toi à ma manière ; alors faisant poser la demoiselle Verneuil dans la posture délicieuse où une femme aimable peut présenter la croupe, il la troussa ; eh ! que vit-il, ô mes amis, partisans zélés de la fouterie ! comment peindre ce qu’il vit, le plus beau cul de la terre ; non les fesses de Ganimède, la chûte de reins de la Vénus de Médicis, le croupion d’Adonis, n’étaient pas comparables au cul de la Verneuil ; aussi le beau T..... s’extasia-t-il en le voyant. Grands