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con d’une fouteuse charmante ; tels sont les jeux d’un conquérant ; il se retrace dans cette fouterie délicieuse l’image d’une citadelle emportée d’assaut, et le vagin d’une femme est pour un fouteur dispos et expert celle d’une place forte et destinée à l’attaque ; ses cuisses sont les remparts, le poil de sa motte représente les glacis, son cul divin, figure la demi-lune, et le dernier retranchement dont on doit se dessaisir ; ses fesses sont les bastions, et le con de cette beauté est la brèche. L’arme en main, vit en l’air, l’attaque commence : les couilles de l’assaillant sont les bombes enflammées, qui doivent lancer le feu de la paillardise. Les coups de cul de la lubrique femelle annoncent sa courageuse résistance ; mais de même qu’on voit sur les crénaux le défenseur expirant, de même la femme foutue se pâme de plaisir, et dit en déchargeant : Je suis vaincue, et je me soumets à la discrétion du vainqueur. Si la donzelle est mariée, c’est alors que l’image de la guerre est encore plus réelle : le front du cocu se fertilise, et l’on voit aussi-tôt un ouvrage à corne ; ce point manquoit à ma description.

Tous les généraux Français ont fait de