du territoire que j’ai racontée dans le premier volume de la Comédie politique.
« Bien plus ; M. Pouyer-Quertier ayant tenté, longtemps après la publication du livre, dont les épreuves lui avaient été soumises par M.Didot, une demi-réfutation, j’ai dû, dans le second volume, écrire tout un chapitre et entrer dans les détails les plus circonstanciés à cet égard. Vous trouverez là tous les documents de l’affaire.
« Je n’ai pas besoin de vous dire combien je serais heureux et flatté que vous puissiez trouver dans ces récits et dans ceux que j’ai encore à publier quelques faits intéressants.
« Cela me prouverait que ce n’est pas tout à fait inutile d’avoir passé d’aussi longues années dans l’administration, et surtout dans les assemblées et dans les coulisses de la politique.
« Veuillez agréer, Monsieur le comte et cher confrère, les assurances de mes sentiments de haute considération et d’entier dévouement.
« PAUL DHORMOYS 3. »
Le déplacement du pouvoir des mains de M. Thiers — la Révolution — dans celles du maréchal de Mac-